En haut d’une colline, creusé dans la terre, le Stade est la prolongation naturelle , mais en négatif, de son sommet ondulé. Le public accède directement dans le stade en franchissant la crête qui le ceinture et qui correspond à la limite supérieure des gradins, d’où des impressions de stupeur et surprise. En fin de compte, un terrain de football, c’est tout simplement une pelouse. Lumière, horizon, structure, dispersion et concentration, nature et artifice… notes sur un pentagramme composite dans la recherche d’une syntaxe du projet qui se pose sur la ligne de faîte, entre territoire et paysage, espace public et espace privé… terre dans les terres.