Rueil-Malmaison, France
2018
programme : Inventons la Métropole du Grand Paris 2 – Site Écoquartier de l’Arsenal : construction de deux ilots de logements, une halle gourmande, une halle des idées, un pôle sportif, des restaurants et aménagement d’une place centrale publique
> surface total : 20 267 m2
> logements : 17 360 m2
> restaurants : 1 107 m2
> sport : 1 440 m2
> fabrique royale : 360 m2
maître d’ouvrage : BNP Paribas Immobilier, SOPIC, In’li, Engie
projet : Alfonso Femia / Atelier(s) Alfonso Femia avec Ateliers 5
paysagiste : Après La Pluie
images : ©Atelier(s) Alfonso Femia
Notre objectif pour Rueil-Malmaison est élevé : nous voulons bien plus qu’un simple site vitrine qui ferait la Une des journaux. Nous souhaitons susciter chez les habitants un désir : celui de reconquérir durablement le « 13ème village », grâce à des usages singuliers et cohérents de l’espace.
#Innovation. Expérimenter ici, répliquer ailleurs
Notre projet développera le tissu urbain de l’Arsenal. Toutefois, il a vocation à rayonner au-delà des frontières rueilloises. Répondre aux enjeux de Rueil-Malmaison permettra, ensuite, d’adapter les modèles innovants et maîtrisés à l’échelle de la métropole. Les opportunités locales deviendront ainsi des sources d’apprentissage et d’inspiration pour le Grand Paris.
#Diversité. Fédérer des acteurs variés pour des idées nouvelles
Entrepreneurs, associations, facilitateurs… Nous voulons fédérer divers acteurs pour la fabrique de la ville. Cet écosystème varié donnera une impulsion nouvelle à Rueil-Malmaison. Par cette pluralité, nous ambitionnons d’élargir les champs d’innovation. Notre but : créer de nouvelles synergies pour la métropole.
#Pragmatisme. Développer un idéal réaliste
Notre projet est au service des habitants. Il évoluera avec eux. Notre intention est de développer la métropole du Grand Paris sur le long terme. C’est pourquoi nous nous refusons aux grandes promesses déconnectées des besoins réels. Nous préférons ancrer notre proposition dans le contexte du site, actuel et à venir (avec l’arrivée du métro). Une vision à deux piliers : résilience et pragmatisme.