La ville de Turin établit un dialogue avec sa dimension horizontale et avec sa dimension de paysage, qui s’identifie dans les collines et dans la rivière qui la traverse et l’origine.
La ville de son cœur et de ses différentes parties, propose souvent une métrique équilibrée entre pleins, vides, densités, espaces ouverts, dimensions collectives et dimensions intimes.
Concevoir l’avenir sur le passé est une pratique qui doit se faire en recherchant l’harmonie, l’équilibre, la métrique urbaine, capables de rechercher une continuité tout en introduisant des valeurs innovantes.
Le projet veut poursuivre ces objectifs dans la relation avec l’existant jusqu’à la volonté de construire un espace continu fait d’alternance de vides et de pleins et de traversées qui rendent la zone poreuse et perméable, de manière perceptive ou dans son utilisation urbaine.
L’architecture devient donc la matrice de l’organisation spatiale tant pour les fonctions qu’elle abritera dans le futur que pour les relations et les espaces intermédiaires qui caractérisent son identité.
Petites variations chromatiques, reflets et transparences au sein d’un dessin unitaire, ils veulent déléguer à la lumière un récit quotidien toujours différent aux différentes heures de la journée, aux différents jours de la semaine.
Un paysage dans le paysage qui mesure le temps dans le temps.